Une fois de plus, le quotidien français Libération (groupe Rothschild), vient de tenter d’intoxiquer ses lecteurs à propos de Thierry Meyssan et du Réseau Voltaire.
Après avoir laissé entendre que notre association lutterait par antisémitisme contre la colonisation de la Palestine, puis avoir imaginé que Thierry Meyssan (alors secrétaire national du Parti radical de gauche) aurait rejoint le Front national, voilà qu’il nous présente comme des agents de l’ex-directeur des Renseignements généraux Yves Bertrand.
Nous tenons donc à préciser :
1) Thierry Meyssan n’a jamais rencontré, ni parlé, ni eu aucun contact
que ce soit avec Yves Bertrand.
2) Thierry Meyssan et le Réseau Voltaire ont été placés par les Renseignements généraux sous la surveillance du commissaire Marty-Vrayance qui a appartenu à l’équipe d’Yves Bertrand.
3) Lorsqu’il travaillait au Secrétariat général de la Défense nationale, le commissaire Marty-Vrayance a alerté le Réseau Voltaire sur l’existence de certaines sources ouvertes, mais il n’a jamais eu la moindre influence sur le contenu des publications du Réseau Voltaire ou de Thierry Meyssan.
4) Les Renseignements généraux et la Direction de la sécurité du territoire ont recruté ou infiltré un administrateur au sein du Réseau Voltaire. Celui-ci leur a fourni des rapports réguliers, contre rémunération, sur les activités internes de l’association. Dès que cet informateur a été dévoilé, il a été relevé de ses fonctions et exclu de l’association.
5) Le Réseau Voltaire a mené indépendamment une enquête sur Alain Bauer, sans aucune interférence possible des Renseignements généraux, lesquels, avec le Renseignement militaire, apportaient une aide à M. Bauer pour prendre la présidence du Grand Orient de France.
6) Nous n’avons aucune idée de ce que signifie la référence dans l’article de Libération au Syndicat de la magistrature avec lequel nous nous sommes toujours trouvés en phase.
7) Libération n’a jamais interrogé Thierry Meyssan ou le Réseau Voltaire pour vérifier les imputations diffamatoire qu’il vient de publier contre nous, pas plus qu’il ne l’avait fait les fois précédentes.
Il convient de se demander ce que signifie la manipulation à laquelle
Libération apporte son concours.
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