Parti de France, le mouvement de protestation populaire des Gilets jaunes s’étend. Des rassemblements contre une pression fiscale perçue comme inique ont eu lieu, non seulement en France, mais aussi en Belgique et en Bulgarie. La plupart des États membres de l’Union européenne poursuivent une hausse régulière de leurs prélèvements sociaux afin de payer une dette mystérieuse accumulée depuis les années 70.
Les Français semblent vouloir prendre en main leur propre destin et il y avait urgence. Le monde politico-médiatique ne pouvait plus rien pour lui que de lui lancer sa haine.
Il y a urgence car notre pays s’appauvrit à très grande vitesse selon une inexorable spirale déflationniste
La désindustrialisation de la France est massive, moi même ayant toujours travaillé dans l’industrie, je m’aperçois aujourd’hui que nombre de savoir-faire disparaissent avec les industries qui les supportaient et ce autant dans les industries mécaniques jadis fleuron de l’industrie française que dans les industries de l’électronique.
Une dette inique et inutile, obligatoirement appliquée à la France pour le rapport des intérêts qu’elle doit payer aux marchés financiers alourdit l’ensemble de la fiscalité française comme on le voit.
Il n’y a pas si longtemps la richesse française —et donc sa capacité de pouvoir supporter la dette— était soutenue par une florissante industrie. Celle-ci s’étant effondrée au profit de la Chine, ce ne sont plus que les classes moyennes qui doivent faire face à la pression financière. Dans le même temps la consommation s’écroule, les services de santé qui étaient parmi les meilleurs du monde sont également en passe de s’écrouler tout comme l’ensemble des services publics et du système éducatif.
Afin de parfaire la casse du système social français, un flot migratoire est organisé afin que des gens venant de toutes parts puissent sagement offrir leur force de travail à bas prix à la place des Français.
Les tenants du pouvoir, représentant en France le grand capital mondialiste et spéculateur, entretiennent une classe de « petit marquis » qui monopolise l’information et les médias en général. Celle-ci ne peut que déverser sa haine du peuple et ne proposer que la censure pour tenter d’endiguer les mécontentement.
Cela faisait très longtemps qu’un divorce aussi profond ne s’était pas creusé entre les élites intellectuelles et médiatiques et le peuple de France.
Le peuple de France a ainsi perdu confiance dans tout ce qui paraît être une institution, voyant même en elle une ennemie.
Le mouvement des « Gilets jaunes » se voulant apolitique au sens politicien du terme, alors qu’il est très politique au sens citoyen du terme, a rejeté l’appui de syndicats et de parti politiques déconsidérés. Il tape pourtant juste et fort contre la fiscalité inique, fiscalité dont la source est justement la dette, non pas la dette en soi qui est virtuelle, mais les intérêts qui doivent en être payés. Ce mouvement est inédit car utilisant un nouveau modèle d’organisation sociétale, le réseau et ses supports que sont les réseaux sociaux.
Que peut faire le pouvoir d’autre que de la répression et de la censure ? Il ne peut baisser les taxes sans faillir devant les marchés financiers, un modèle de faillite comme celui de la Grèce se met en place. Mais les Français accepteront-ils de subir le même sort que les Grecs. Cela n’est pas si sûr. Ce qui nous est proposé, c’est une normalisation dans une tiers-mondisation. Après avoir connu la prospérité à l’issue des « 30 glorieuses », les Français accepteront-ils de subir une paupérisation dont les limites sont insondables ?
Des hommes politiques nouveaux vont ils émerger de cette révolte ? Un système politique nouveau va t-il également en émerger car celui qui nous affecte nous a conduit directement au désastre.
Le peuple de France doit arracher le pouvoir à l’oligarchie mondialiste et à ses représentants « français ».
Cela ne sera pas simple, mais nous somme le peuple et celui-ci, uni, ne peut être vaincu.
Il est évident que tout ceci ne fait que commencer et la juste colère populaire ne peut s’éteindre.
Restez en contact
Suivez-nous sur les réseaux sociaux
Subscribe to weekly newsletter