L’Union européenne a pris note avec satisfaction du démarrage du processus de dialogue
au Togo le 21 avril dernier, suivi de l’adoption d’un ordre du jour ouvert qui aborde sans
restriction les questions de fond devant concourir à jeter les bases d’une réconciliation
nationale durable. Cet évènement constitue une étape importante dans le plein respect des
22 engagements souscrits par les autorités togolaises.
L’Union Européenne salue les efforts déployés en ce sens par le Président Faure
Gnassingbé, par le Gouvernement, par l’ensemble de la classe politique et des
représentants de la société civile togolaise. Elle encourage avec force l’ensemble des
participants à mener le dialogue jusqu’à son terme et à trouver les voies et moyens d’une
mise en oeuvre effective de ses conclusions.
L’Union européenne rappelle qu’elle reste disposée à appuyer l’action des autorités
togolaises dans la mise en oeuvre des vingt-deux engagements, dans le respect de la
décision du Conseil du 15 novembre 2004.
La Bulgarie et la Roumanie, pays en voie d’adhésion, la Turquie, la Croatie* et l’ancienne
République yougoslave de Macédoine*, pays candidats, l’Albanie, la Bosnie-Herzégovine
et la Serbie-Monténégro, pays du processus de stabilisation et d’association et candidats
potentiels, l’Islande, le Liechtenstein et la Norvège, pays de l’AELE membres de l’Espace
économique européen, ainsi que l’Ukraine et la République de Moldavie se rallient à la
présente déclaration.
*La Croatie et l’ancienne République yougoslave de Macédoine continuent à participer au
processus de stabilisation et d’association.
Réf : 9073/1/06 REV 1 (Presse 130)
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