Les médias régionaux ont estimé que l’annulation de la visite en Arabie saoudite du ministre syrien des Affaires étrangères, Walid Moallem, va exacerber les tensions entre les deux pays. Selon la presse, cet incident pourrait avoir des répercussions négatives sur la situation au Liban, secoué par une profonde crise à moins de deux semaines du début du délai constitutionnel pour l’élection d’un successeur à Emile Lahoud. Il prouve l’existence de tiraillements au sein de la famille royale au sujet de l’attitude à adopter à l’égard de la Syrie.
Tendances et événements au Proche-Orient
Les récents développements sur le terrain dans les Territoires palestiniens occupés montrent que les mouvements de la Résistance palestinienne ont réalisé d’importants progrès au niveau du renseignement, de la préparation et de l’efficacité militaire. Les roquettes tirées sur la base de Zikin, près d’Ashkelon, ont atteint leur but avec une étonnante précision. Pendant ce temps, en Cisjordanie, les cellules de la Résistance ont pu se réorganiser et s’adapter, échappant à la coopération sans précédent entre les services de sécurité de Mahmoud Abbas et les Israéliens.
Des sources bien informées dans les territoires occupés affirment qu’une nouvelle génération de résistants a pris la relève et affiche une forte détermination à lutter contre l’occupation. Cette génération a pu accumuler une expérience d’une richesse inégalée, aussi bien sur le plan de l’organisation que des capacités techniques et opérationnelles. Ces résistants bénéficient en outre d’un large appui populaire après que la rue palestinienne eut réalisé que les rencontres répétées entre Mahmoud Abbas et le Premier ministre israélien, Ehud Olmert, ont seulement abouti à l’abaissement du plafond des droits politiques des Palestiniens, une tendance qui se poursuit sans relâche depuis les accords d’Oslo. Le nouveau plafond imposé par les Israéliens et agréé par les dirigeants de l’Autorité palestinienne est en deçà de ce que le chef historique des Palestiniens, Yasser Arafat, avait refusé d’accepter, même lorsqu’il était encerclé dans la Mouqataa, à Ramallah, et menacé de mort.
Le peuple palestinien, très attaché d’une manière instinctive, à l’unité nationale, se trouve, dans sa majorité, plus proche des résistants que de l’Autorité de Mahmoud Abbas. C’est l’illustration d’une profonde conviction qui s’est enracinée depuis le début de la seconde Intifafa : il ne pourra obtenir ses droits qu’à travers une résistance de longue haleine. Ce qu’il obtiendra à travers le processus politique ne lui restituera pas ses droits légitimes et ne lui permettra pas d’édifier un État souverain et viable.
Entre une nouvelle Intifada qui se profile à l’horizon et la poursuite des opérations de résistance, Israël ne sait plus à quel saint se vouer. La direction politique et militaire de l’État évolue dans un cercle vicieux et il ne semble pas que la fameuse « conférence de paix » de George Bush sera capable de l’en sortir.
Presse et agences internationales
• Les journaux arabes se sont longuement étendus sur l’affaire de l’annulation de la visite, prévue mardi en Arabie saoudite, du ministre syrien des Affaires étrangères, Walid Moallem. C’est en fait un ministre saoudien qui a annoncé la nouvelle. Damas a répondu en précisant qu’aucune visite de Moallem à Riyad n’était programmée. Cette affaire montre que les deux pays n’ont pas encore réussi à surmonter la crise qui affecte depuis des mois leurs relations bilatérales. Le fossé entre Damas et Riyad s’était creusé après les déclarations du vice-président syrien, Farouk Chareh, qui avait sévèrement critiqué le rôle de l’Arabie saoudite dans la région qu’il avait qualifié de « totalement gelé ». Des responsables du royaume avaient violemment riposté aux flèches de M. Chareh.
La presse a signalé que Damas n’avait pas commenté les informations parues dans la presse sur la visite de Moallem en Arabie. Mardi, des responsables syriens cités par l’agence officielle Sana ont indiqué qu’aucune visite n’était prévue pour qu’elle soit annulée. Un responsable saoudien cité par Reuters a de son côté déclaré que les autorités de son pays n’avaient pas été informées de cette visite. « Il y a un protocole pour ce genre de visites », a-t-il dit. Dans une déclaration à l’agence UPI à Londres, le ministre syrien du Tourisme, Saadallah Agha Kalaa, a qualifié de « nuages d’été » la crise des relations syro-saoudiennes qui n’aura aucune répercussion sur les investissements saoudiens dans le secteur touristique en Syrie.
• Le député druze israélien Said Naffaa a mis les autorités israéliennes au défi de lever son immunité parlementaire en raison de son voyage en Syrie, où il se trouve actuellement.
« Si les autorités israéliennes ont déjà initié des mesures à mon encontre qui viseraient à lever mon immunité parlementaire, je leur dis dès maintenant : cette immunité, je vous la donne ! », a déclaré M. Naffaa, qui se trouve à Soueida (sud), la province druze de Syrie.
Le député est arrivé jeudi dernier en Syrie avec une délégation de 528 druzes d’Israël et du Golan syrien occupé par l’État hébreu depuis 1967, où ils ont effectué un pèlerinage religieux et ont rencontré les autorités syriennes.
Ils ont prolongé leur visite en Syrie alors que les autorités israéliennes ne leur avait accordé qu’une autorisation de trois jours.
La visite de M. Naffaa a provoqué une levée de boucliers parmi les députés de la droite israélienne, qui appellent à l’ouverture d’une enquête judiciaire à son encontre.
« Si notre visite en Syrie constitue une accusation, nous la considérons de notre côté comme un droit et comme un geste qui traduit les liens profonds entre nous, Arabes palestiniens de 1948, et nos frères en Syrie », a ajouté M. Naffaa.
« Des mesures similaires ont également visé cheikh Ali Madi (chef de la délégation druze israélienne en Syrie), ainsi que M. Nihad Melhem (l’un des responsables de la délégation), à l’initiative du chef de la sécurité intérieure israélienne », a précisé le député.
M. Naffaa est le vice-président du Rassemblement national démocratique (RND), de l’ex-député israélien Azmi Béchara, actuellement en Syrie et accusé par Israël d’intelligence avec le Hezbollah pendant la guerre de juillet-août 2006.
« Si la Syrie est considérée comme un ennemi par Israël, nous ne la considérons nullement comme tel. Les liens avec la Syrie traduisent notre appartenance identitaire arabe ainsi qu’un projet unioniste arabe, pour lequel nous militons », a affirmé M. Naffaa.
ICPA (AGENCE DE PRESSE CENTRALE IRANIENNE)
Le nouveau chef des Gardiens de la révolution, le général Mohammad Ali Jaafari, a dit avoir identifié les « points faibles des États-Unis » en Irak et en Afghanistan et donnera une « réponse décisive » en cas d’attaque US.
« Les Gardiens de la révolution ont identifié les points faibles de l’ennemi qui occupe l’Irak et l’Afghanistan et si l’ennemi veut mener une action audacieuse contre le peuple iranien, il recevra une réponse décisive et destructrice, a déclaré le général Jaafari. Tous les points faibles de l’ennemi ont été identifiés en Irak et en Afghanistan et de la sorte les points faibles de notre capacité défensive ont été renforcés ».
Le prédécesseur du général Jaafari, Rahim Yahia Safavi, avait évoqué à cet égard la semaine dernière la « vulnérabilité » des 200 000 GI’s dans la région.
• Les plus hauts responsables états-uniens en Irak ont de nouveau accusé l’Iran de fournir des armes aux groupes rebelles irakiens en affirmant que Téhéran serait le « grand gagnant » d’un retrait précipité des troupes US.
« Un Irak tombé dans le chaos ou la guerre civile inciterait les États voisins à intervenir, tous voyant leur avenir fondamentalement lié à celui de l’Irak », a prévenu l’ambassadeur des États-Unis à Bagdad, Ryan Crocker, qui témoignait devant les commissions des Forces armées et des Affaires étrangères de la Chambre des représentants.
« Il est évident que l’Iran serait le grand gagnant, et qu’il pourrait consolider son influence sur les ressources, voire le territoire de l’Irak », a-t-il poursuivi.
Pour sa part, le général David Petraeus, commandant des forces US en Irak, a affirmé que non seulement Téhéran n’avait pas cessé de fournir des armes à divers groupes irakiens, mais que le volume de ces livraisons avait augmenté.
« Il y a eu une brève réduction pendant quelques semaines, mais il semble que cela reprenne de plus belle et nous ne voyons aucun signe que cela s’atténue », a-t-il poursuivi.
Le général Petraeus a indiqué que l’armée états-unienne prévoyait d’installer une base militaire très près de la frontière irakienne avec l’Iran pour mieux lutter contre le flux clandestin d’armes et de combattants iraniens rejoignant l’Irak.
« Il apparaît de plus en plus évident que l’Iran cherche à transformer les milices irakiennes en une force semblable au Hezbollah, afin de servir ses intérêts et de mener une guerre par procuration contre l’État irakien et les forces de coalition en Irak », a-t-il également déclaré.
AL-BAYAN (QUOTIDIEN EMIRATI)
Ce qui a été qualifié par des milieux US comme étant « le plus important rapport soumis au Congrès par un général depuis Vietnam » n’est pas du tout comme il a été décrit. L’image présentée par le général David Petraeus et l’ambassadeur Ryan Crocker de la situation en Irak n’a pas apporté des éléments imprévus. Son contenu était déjà connu depuis des jours. Ce rapport a fourni au président George Bush ce qu’il souhaitait et à satisfait une partie des revendications de ses adversaires démocrates. Bush a vu ses arguments renforcés, ce qui lui permet de gagner un peu de temps. Les démocrates ont, pour leur part, reçu la promesse d’une réduction progressive des troupes états-uniennes en Irak. L’Irak, lui, n’a obtenu aucune indication, ni de près ni de loin, sur une possible sortie du tunnel dans lequel il est coincé. Le rapport n’a pas apporté de remède au pays, comme cela avait pu être envisagé pendant la période antérieure à sa publication. L’idée principale de l’exposé de Petraeus et de Crocker est que les GI’s vont rester dans le pays des deux fleuves jusqu’à nouvel ordre. Rien ne laisse présager que les États-uniens vont adopter une stratégie autre que l’approche sécuritaire. Au contraire, David Petraeus a fourni à Bush les munitions nécessaires pour poursuivre sur cette voie. Et les démocrates ne possèdent pas les deux tiers requis au Congrès pour briser un éventuel veto apposé par le président à une loi le sommant d’établir un calendrier de retrait d’Irak.
Ce rapport montre qu’il n‘y a pas de changement dans la politique états-unienne et que les choses vont rester telles qu’elles.
AL-KHALEEJ (QUOTIDIEN EMIRATI)
Même si les appels se multiplient à l’intérieur et à l’extérieur des États-Unis, pour l’adoption d’une politique plus raisonnable et faire en sorte d’éviter un nouveau Vietnam, à travers l’adoption d’un calendrier de retrait des troupes d’Irak, les néo-conservateurs feront la sourde oreille car ils n’ont pas encore atteint leurs objectifs. Il est à craindre que l’Irak ne se transforme en addiction chez les États-uniensd et les Arabes. La situation risque de devenir semblable à celle qui prévaut en Palestine, occupé depuis six décennies par les sionistes. Les symptômes qui touchent l’Irak pourraient faire contagion et frapper ses voisins. Il faut absolument trouver un remède arabe pour guérir ce mal.
• Le Premier ministre palestinien limogé Ismaïl Haniyeh s’est déclaré prêt à rencontrer le président Mahmoud Abbas en Arabie saoudite, lors d’un entretien téléphonique lundi avec le prince héritier saoudien Sultan ben Abdel Aziz, a indiqué son mouvement Hamas.
M. Haniyeh « a affirmé au prince héritier saoudien qu’il était prêt à rencontrer Mahmoud Abbas pour tenter de régler un différend entre frères palestiniens sur la base de l’accord de la Mecque », a affirmé à le porte-parole du mouvement Taher al-Nounou.
Le président Abbas, également chef du Fatah, a été reçu mardi en Arabie saoudite par le roi Abdallah à qui il a réitéré son soutien à l’accord de La Mecque conclu avec le Hamas, à condition d’un retour à la situation antérieure au 15 juin à Gaza, selon son représentant à Ryad, Jamal al-Chobaki.
L’accord de La Mecque, conclu le 8 février, avait permis la création d’un gouvernement d’union nationale et une réconciliation entre le Hamas et le Fatah après des mois d’affrontements meurtriers entre les partisans des deux groupes.
Audiovisuel arabe
AL-JAZEERA (CHAINE QATARI)
Principal journal du soir
– Invité : Mahmoud Abbas, président de l’Autorité palestinienne
Il n’y aura pas de dialogue avec le Hamas avant que la situation à Gaza ne revienne à ce qu’elle était avant les derniers événements.
Les entretiens avec le roi Abdallah étaient axés sur les développements sur la scène palestinienne et plus particulièrement dans la Bande de Gaza.
La discussion a porté sur les rencontres et les contacts en cours en prévision de la conférence de paix internationale que le président George Bush veut organiser en novembre.
Tendances et événements au Liban
Le Liban sera au centre d’un tourbillon diplomatique dans les jours qui viennent avec la visite de nombreux émissaires européens, états-uniens et arabes, la plus importante étant celle du ministre français des Affaires, Bernard Kouchner. La venue du chef de la diplomatie française intervient quelques jours après le lancement par le président Nabih Berri de son initiative, et s’inscrit dans le cadre des démarches entreprises par Paris pour désamorcer la crise libanaise, depuis l’accession de Nicolas Sarkozy à la présidence.
Des sources bien informées ont indiqué que M. Kouchner va aviser le chef du gouvernement, Fouad Siniora, que la France appuyait sans ambages l’option du quorum constitutionnel des deux tiers des députés pour l’élection du prochain président de la République. Aussi, soutient-elle sans réserves l’initiative de Nabih Berri qui consiste à abandonner la revendication du cabinet d’union nationale en contrepartie d’une entente sur le nom du prochain président sur la base du quorum des deux tiers. Paris va donc encourager les différents protagonistes de la crise libanaise à œuvrer pour mettre en application le plan de règlement de la crise proposé par le président de la Chambre.
Lors de sa visite à Beyrouth, le ministre espagnol des Affaires étrangères, Miguel Angel Moratinos, développera pratiquement les mêmes arguments que M. Kouchner. Mais les milieux politiques s’inquiètent de ce que va faire et dire l’adjointe de Condoleezza Rice, Elizabeth Dibble, qui va rencontrer les ténors de la coalition pro-américaine du 14-mars. Leur transmettra-t-elle un mot d’ordre pour une escalade politique ?
Quoi qu’il en soit, l’opposition a mis en garde contre le chaos au Liban si la majorité au pouvoir rejetait son offre de compromis sur l’élection présidentielle.
« Ma proposition constitue la dernière chance pour résoudre la crise politique, permettre la tenue de l’élection présidentielle et éviter un éventuel chaos au Liban, a déclaré le président Nabih Berri. « C’est la dernière chose que nous pouvons offrir à l’autre camp avant la présidentielle ».
Le général Michel Aoun, chef de l’opposition chrétienne, a mis en garde lui aussi contre le risque d’« explosion » si la majorité n’acceptait pas un « compromis » avec l’opposition.
Articles relatifs au Liban
AL-AKHBAR (QUOTIDIEN PROCHE DE L’OPPOSITION)
M. Nabih Berri a déclaré dans un entretien accordé au journal que sa proposition « constitue la dernière chance pour résoudre la crise politique, permettre la tenue de l’élection présidentielle et éviter un éventuel chaos au Liban ». « Je veux entendre l’autre camp (la majorité) déclarer son soutien total à l’initiative sans aucun ‘mais’ », a ajouté M. Berri « C’est la dernière chose que nous pouvons offrir à l’autre camp avant la présidentielle », a-t-il souligné. « Je peux retirer ma proposition, mais veulent-ils que nous revenions à notre exigence d’un gouvernement d’union nationale ? », a-t-il demandé.
AN-NAHAR (QUOTIDIEN PROCHE DU 14-MARS)
Le patriarche maronite, Nasrallah Sfeir, qui se trouve au Vatican, a dit souhaiter l’élection d’un président consensuel au Liban. Il a estimé que si les deux parties en conflit campent sur leurs positions, le pays se dirige vers un dédoublement des institutions : deux présidents et deux gouvernements.
• La majorité ne s’est pas encore prononcée sur l’initiative du président du Parlement, Nabih Berri, qui a officiellement convoqué la Chambre pour le 25 septembre, en vue d’élire le président. L’élection du nouveau chef de l’État doit intervenir dans les deux mois précédant la fin du mandat de l’actuel président Emile Lahoud, soit entre le 25 septembre et le 24 novembre.
Le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, est attendu jeudi dans la capitale libanaise, sa troisième visite au Liban depuis sa nomination au Quai d’Orsay. La France estime qu’« il y a sans doute des opportunités à saisir » après l’offre de compromis de M. Berry, d’où « la nécessité de poursuivre le contact avec les parties libanaises », a souligné le porte-parole adjoint du ministère français des Affaires étrangères, Frédéric Desagneaux.
Mardi, un responsable du ministère allemand des Affaires étrangères est arrivé à Beyrouth, après la visite d’un envoyé espagnol qui prépare le prochain déplacement du chef de la diplomatie espagnole Miguel Angel Moratinos.
Mercredi, la sous-secrétaire adjointe américaine pour le Proche-Orient Elizabeth Dibble a affirmé le soutien de son pays au gouvernement dirigé par Fouad Siniora.
Le même jour, l’envoyé présidentiel soudanais Moustafa Osmane Ismaïl, qui a fait plusieurs allers retours depuis le début de la crise, est venu à Beyrouth, avant une visite du vice-ministre russe des Affaires étrangères Alexandre Saltanov.
Et l’ambassadeur saoudien au Liban, Abdel Aziz Khoja, qui avait quitté le pays après avoir reçu des menaces, est rentré à Beyrouth dans le but de poursuivre ses efforts pour résoudre la crise.
Audiovisuel libanais
LBC (FORCES LIBANAISES, 14-MARS)
Émission : Avec courage
– Invité : Hussein Hajj Hassan, député du Hezbollah
S’il y a un accord sur le quorum des deux tiers, un président sera élu lors de la séance du 25 septembre. Le gouvernement actuel démissionnera, le nouveau chef de l’État entrera en fonction le 25 novembre et nous nous mettrons d’accord sur toutes les questions en suspens.
L’entêtement de certaines figures du 14-mars à rester attachées à l’élection d’un président à la majorité absolue est politique. Il ne repose sur aucun argument constitutionnel.
– Invité : Elias Atallah, député de Tripoli (14-mars)
Il faut réunir immédiatement une table de dialogue pour régler toutes les questions litigieuses. Il est impossible pour le 14-mars d’abandonner l’option de la majorité absolue.
Tendances est un bulletin quotidien de veille politique sur le Proche-Orient, réalisé par l’agence New Orient News à Beyrouth. Retrouvez-le sur Voltairenet.org, en versions arabe, anglaise et française. Consultez également Indicators, le bulletin quotidien de veille économique sur le Proche-Orient, disponible en versions anglaise et arabe.
Restez en contact
Suivez-nous sur les réseaux sociaux
Subscribe to weekly newsletter