La presse est beaucoup moins bavarde aujourd’hui sur la Syrie. Elle préfère focaliser son attention sur les attentats survenus en Irak.
Après avoir hurlé pendant trois semaines pour que la Syrie ouvre ses frontières aux observateurs de la Ligue arabe, la presse atlantiste et du Golfe s’efforce de présenter leur arrivée comme un événement sans importance :
– 1. Le « régime » pourrait se montrer moins violent en leur présence car leur venue aurait été précédée de vastes massacres ;
– 2. Les observateurs pourraient ne pas rencontrer les victimes, car celles-ci auraient été transportées dans des lieux inaccessibles ;
– 3. Le directeur de la délégation de la Ligue arabe, le général soudanais Mohammed Dabi, pourrait se montrer complaisant face aux crimes du « régime », car il serait lui-même un criminel de guerre.
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