Robert Hue est le Secrétaire général d’un Parti communiste que la chute du Mur de Berlin a sevré de stéréotypes en matière de politique étrangère, laissant place progressivement à des analyses originales. En ce qui nous concerne ici, la politique africaine, il convient de constater la qualité du résultat.
Il reste certes du chemin à faire pour relier la réprobation des superstructures macro-économiques aux ressorts locaux du refus de la fatalité, mais la réflexion se dégage par étapes de la transposition des clivages européens.
Durant la tragédie rwandaise, l’attitude du Parti communiste et de sa presse fut exemplaire - tandis que de faux révolutionnaires justifiaient presque le génocide des Tutsis par leur vice " aristocratique ". Au même moment, Nelson Mandela, que le PCF n’a cessé de soutenir contre vents et marées, offrait à l’Afrique un miracle politique. A ces judicieuses rencontres avec l’Histoire, on peut trouver quelques raisons de circonstance ; il y eut aussi des facteurs subalternes dans le soutien que quelques autres préférèrent apporter au Hutu power. Mais la chance ou la malchance n’expliquent pas tout.
On considèrera donc qu’en Afrique, s’écartant des marxistes de terreur ou de pacotille - les Mengistu ou les Sassou-Nguesso -, le candidat du PCF suit plutôt un bon parti.
PROPOS
N’ayant jamais été en position de gérer la politique franco-africaine, le PCF et son candidat sont peu portés à en vanter la grandeur, ou les agréments. A la suite de leur combat pour la décolonisation, ils restent sourcilleux sur les questions d’indépendance et de non-ingérence. C’est toutefois la préoccupation du développement qui tient la plus grande place dans leurs discours sur les relations avec l’Afrique. Deux conditions leur paraissent nécessaires : annuler la dette et réduire la militarisation. L’on note enfin un discours plus étoffé sur les questions de la démocratie et des droits de l’homme.
Annuler la dette
Robert Hue " propose l’annulation de la dette et sa transformation en un fonds national d’investissement pour l’emploi dans les pays endettés (131)". Le député Francis Wurtz, membre du Bureau national du PCF, en charge du dossier Nord-Sud au PCF, insistait sur le premier terme : " Stopper le pillage exige non pas la remise partielle de dettes mais leur annulation totale (132)", tandis que le programme adopté par le Parti en janvier 1994 laissait l’alternative : " Il convient d’annuler ces dettes ou de les transformer en un fonds national d’investissement productif créateur d’emplois pour les pays endettés (133)".
Remiser le fardeau de l’endettement suppose aussi de " faire reculer le rôle du marché financier, [...] au profit d’accords mutuellement avantageux 133", d’" arrêter les plans d’ajustement structurels, [...], donc relever les prix des matières premières, renégocier les accords du GATT... (134) ".
A travers ces quelques phrases, et l’introduction tâtonnante d’un projet alternatif tel que la conversion des dettes en fonds locaux, on reconnaît d’abord la préférence des communistes pour les explications superstructurelles, puis l’instillation de propositions venues d’ailleurs. Dans la mesure où la dette est très largement planquée en Suisse, sur les comptes de ceux, Africains et Occidentaux, qui ont dévoyé les fonds de leur objet productif, l’annulation pure et simple de la dette s’apparente à l’amnistie des requins : l’impunité risque de les encourager à poursuivre le pillage. On comprend cependant que l’on veuille décharger les populations, qui paient le prix d’un endettement démentiel. Comment y parvenir sans rechuter, comment aider les producteurs à s’organiser pour défendre le prix des matières premières, tout en sortant de la dépendance d’une monoculture ? Où trouveraient-ils la force, dans une renégociation du GATT, de ne pas de nouveau être mis sur la touche ? Au-delà des condamnations incantatoires, cela suppose toute une expérience des contreparties et des contre-pouvoirs : le modèle soviétique n’y avait pas entraîné la théorie communiste, mais le PCF commence d’y être moins hermétique.
Réduire les dépenses militaires
Robert Hue propose " une réduction substantielle des dépenses militaires (135)". " La France devrait être à l’initiative pour favoriser un transfert des dépenses d’armement vers des dépenses civiles utiles (136)".
Les communistes ont de bonnes lectures. Citant le rapport 1994 du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), Francis Wurtz observe : " L’aide militaire a un impact politique et social considérable. Elle renforce l’armée et ouvre de vastes possibilités de corruption ". Et de dénoncer le commerce des armes, " scandaleuse source de profits et [...] moyen de domination particulièrement ignoble et meurtrier. [...] En Afrique subsaharienne, la part des richesses consacrées aux dépenses militaires a quadruplé en 30 ans (137)".
Quant à la présence ou aux interventions militaires françaises en Afrique, le PCF reste opposé à toute ingérence : " Le respect de la souveraineté suppose " la recherche systématique d’une solution africaine aux problèmes africains (138)".
Coopérer autrement
Exposant son programme, Robert Hue en reste d’abord, sur la coopération Nord-Sud, à des considérations assez générales, dont la générosité et le sens commun se retrouvent chez des candidats très éloignés du PCF - de même que le rejet de l’ultralibéralisme :
" L’aide doit être augmentée, et les engagements pris par la France aux niveaux international et européen respectés. Quand 1,4 milliard d’êtres humains vivent dans la misère, c’est d’abord une exigence éthique. C’est ensuite une condition pour rendre le monde plus sûr. Aider l’Afrique et le tiers-monde à s’en sortir, c’est aussi nous aider nous-mêmes, en contribuant notamment à la création d’emplois.
Une aide efficace passe par des coopérations d’intérêt réciproque et par des institutions internationales non soumises aux lois de l’ultralibéralisme, comme le GATT ou le Fonds monétaire international aujourd’hui (139)".
Mais le PCF et son candidat peuvent développer aussi un discours moins convenu :
" La France a des atouts. Une coopération débarrassée des critères de domination est possible particulièrement avec l’Afrique. [...] Une première urgence concerne la lutte contre la faim. Songeons qu’une réduction de 20% des dépenses mondiales d’armement suffirait à stopper la famine. Outre une aide alimentaire d’urgence aux pays les plus touchés, il faut que soient mises en oeuvre les mesures proposées par le plan d’action mondial contre la malnutrition [...]. Empêcher l’utilisation de "l’arme alimentaire".
La formation des hommes et des femmes, [...] devrait être au coeur des programmes de coopération. Les grandes entreprises de service public [...] pourraient jouer un grand rôle pour des politiques à long terme réellement orientées vers le développement.
[...] Il faut revoir en profondeur la conception de l’aide publique au développement, à partir d’une concertation avec les pays concernés, afin qu’elle profite réellement aux populations (140)".
" J’ai entendu certains d’entre vous dire que jusqu’à présent il n’y avait jamais eu de coopération. Que tout restait à faire dans ce domaine. C’est tout à fait vrai. [...]
Réparer les dégâts causés [par le pillage du Tiers-monde] [...] consiste par exemple à développer et financer les infrastructures nécessaires à un développement permettant l’indépendance alimentaire, [...] [pour] empêcher que les importations alimentaires doublent d’ici à l’an 2010. [...] La France doit agir pour de véritables coopérations d’intérêt mutuel, de partenaire à partenaire, d’égal à égal, ou les populations concernées seraient consultées et pour avant tout satisfaire leurs besoins. [...] Les flux financiers transférés par le biais des ONG doivent être soumis à l’obligation de servir au transfert de technologies, à la formation et à la maîtrise de celles-ci par les Africains eux même (141)".
Le besoin d’une réforme radicale de la coopération, tenant compte de l’avis des populations concernées, ne fait pas encore partie du discours politique dominant. Quant au progrès vers l’indépendance alimentaire, c’est une orientation qui ne flatte pas les lobbies céréaliers, si influents à droite.
Une priorité : le développement humain
Que l’efficacité de la coopération doive être mesurée par le meilleur bien-être des hommes et des femmes et le progrès de leurs potentialités, demeure une idée révolutionnaire (142). Ainsi, de conserve, la Françafrique et la technocratie qualifieraient volontiers de crypto-communiste l’obstination du PNUD (dirigé par un Américain... ) à élaborer un Indice du développement humain. Il est vrai que cette démarche a des conséquences redoutables : elle démontre que la coopération française ne s’intéresse quasiment pas à la lutte contre la misère - et qu’elle obtient par conséquent, à cet égard, de fort médiocres résultats... Autre effet gênant : en comparant les politiques qui échouent et celles qui réussissent, on en viendrait à suggérer de profonds changements aux promoteurs indéfectibles des premières - parmi lesquels les chantres du modèle français de coopération, et leurs alliés africains.
Que Robert Hue se mette à citer abondamment le PNUD, et le soupçon devient certitude (143) :
" Les aides dans leur conception actuelle ne servent pas réellement les populations. De notre point de vue, l’" aide " devrait servir beaucoup plus à la réalisation de projets de développement alors qu’une part importante de celle-ci va à l’ajustement structurel, à des actions de maintien de l’ordre, à des fins militaires. [...]
D’autres moyens peuvent être mobilisés. Selon des experts économiques, repris par le dernier rapport sur le développement humain du PNUD, une taxe de 0,05 % sur les mouvements internationaux de capitaux à caractères spéculatifs (qui se montent chaque jour à 1 000 milliards de dollars environ) rapporterait 180 milliards de dollars par an, soit quatre fois ce qu’il faudrait ajouter aux "dépenses annuelles d’aide entre 1995 et 2005 pour atteindre les objectifs essentiels de développement humain sur l’ensemble de la planète", selon le PNUD. Ces objectifs prévoient " une éducation élémentaire généralisée, une réduction de moitié des taux d’analphabétisme des adultes, des soins médicaux élémentaires pour tous, l’élimination des formes graves de malnutrition, des services de planification familiale pour tous, l’accès à l’eau potable et aux services d’assainissement ", soit " le strict minimum ", toujours selon le rapport du PNUD qui souligne de manière fort pertinente : "c’est de manque de justice et non de charité que le monde souffre" (144)".
Démocratie et droits de l’homme ne sont plus des valeurs bourgeoises
Non content de s’intéresser à la santé ou à l’éducation des pauvres, voilà que le PNUD s’intéresse à leur participation à la vie politique ! Avant que les bien-pensants ne ferment cette dangereuse officine, Robert Hue continue d’y faire son miel :
" La question de la démocratie est au coeur de la démarche qui sous-tend tout mon engagement. Selon le PNUD, 90 % des êtres humains ne participent pas aux décisions qui les concernent. Il s’agit avant tout des peuples des pays du tiers-monde, mais ceux des pays industrialisés n’échappent pas à cette réalité. C’est donc une question essentielle, de civilisation qui est posée : [...] davantage de démocratie, de capacité d’intervention pour les populations de chaque pays 144".
Quant au PCF, il arrive que son programme prenne des accents d’Amnesty International (145) :
" Partout dans le monde la France se doit de défendre les droits de l’homme, en contribuant à des relations plus justes entre les États et retirer tout soutien aux dictatures. [...] Défendre les droits de l’homme partout. [...] Solidaires de toutes les victimes des atteintes aux droits de l’homme, nous nous prononçons et nous agissons pour le respect de la Charte internationale des droits de l’homme, et pour renforcer le caractère indivisible et universel des droits économiques, sociaux, culturels, civils et politiques pour tous les hommes et les femmes de tous les peuples de la planète (146)".
Ce n’est qu’un programme politique, mais un pouvoir ou un parti qui évoque la Charte internationale des droits de l’homme court plus de risque de se voir opposer son propre discours que celui qui prône la dictature du prolétariat.
PRATIQUES
Le PCF na jamais fait partie de la Françafrique - dont les communistes représentèrent longtemps l’ennemi fédérateur. Il s’est retrouvé de surcroît dans le camp des militants de l’indépendance, et de la lutte anti-apartheid.
De même qu’il a longtemps privilégié trop exclusivement l’approche macro-économique, l’excessive polarisation du PCF sur le macro-politique (la conquête de l’État) l’a conduit à sympathiser avec des " héros du Tiers monde " dont le marxisme affiché justifiait des dictatures ou des dérives dictatoriales : Sekou Touré, Kerekou, Sassou Nguesso, Ratsiraka, Mengistu,... au bilan souvent aussi sanglant et ruineux que celui des dictateurs du " monde libre " (les Amin Dada, Bokassa, Mobutu,... ). Ce communisme-là n’étant heureusement plus de saison, ces dictatures ont quasiment disparu, et Sassou Nguesso préfère désormais Charles Pasqua. Les méchantes langues diront donc que, si le PCF soutient beaucoup plus souvent aujourd’hui, en Afrique, les victimes de sévices que les tortionnaires, c’est que ses amis ne sont plus au pouvoir. Mais certains dinosaures anti-communistes, vieux compagnons de route de la Françafrique, mériteraient aussi une cure d’opposition...
Et l’ami Mandela a montré un génie de l’apaisement ethnique dont ferait bien de s’inspirer une politique française qui, au Rwanda, joua plutôt les pompiers pyromanes.
En matière de coopération, les groupes parlementaires communistes appuient des positions novatrices. Celui de l’Assemblée s’est associé dès l’origine à la démarche transpartisane - et donc inhabituelle - de rédaction de la proposition de loi " relative à la contribution de la France à la lutte contre la faim et pour le développement des régions très défavorisées ". Les deux groupes, à l’Assemblée et au Sénat, ainsi que le Parti, l’ont ensuite indéfectiblement soutenue. Le 1er février 1995, les députés PC ont déposé une autre proposition " tendant à créer un Comité national d’éthique du développement ", qui serait " chargé d’initier et de conduire un débat national sur les notions de "développement durable" dégagées par la Conférence des Nations unies sur l’environnement et le développement ", de promouvoir le " principe de précaution " et le " principe de réparation ", d’" oeuvrer à la rédaction d’un "code de bonne conduite" à l’usage des entreprises françaises dont l’activité dans les pays en voie de développement est susceptible d’avoir un impact important sur l’environnement et les populations autochtones ".
L’EPREUVE DU RWANDA
Au Rwanda, la différence sociale et lignagère entre Tutsis et Hutus laissait aux premiers l’essentiel des positions les plus élevées : la monarchie leur appartenait ; ils cumulaient, pourrait-on dire en une analogie très approximative, les fonctions qui, en France, furent celles de l’aristocratie et du clergé, face à un Tiers-État hutu. La Belgique et l’Église catholique, durant la colonisation, renforcèrent ce clivage, jusqu’à imposer des cartes d’identité " ethnique ". Elles misèrent sur l’" aristocratie " tutsie, avant de renverser leurs alliances à la fin des années 50 - suscitant une " révolution sociale " des Hutus opprimés et exploités contre leurs maîtres Tutsis.
Tout aurait donc dû inciter le PCF, à l’instar d’une certaine gauche française, à soutenir le régime Habyarimana, héritier de cette " révolution sociale ", et à pencher pour le Hutu power contre le revanchisme du FPR, à majorité tutsie. Tout... sauf la dérive génocidaire de ce régime, que signalait
L’Humanité depuis 1993. D’anciens contacts avec les mouvances anti-impérialistes d’Afrique de l’Est ne suffisent pas à expliquer pourquoi, tout au long de la tragédie rwandaise, le Parti communiste et sa presse furent à l’avant-garde de la vigilance, de l’information sur l’horreur en cours (le reporter Jean Chatain tint à cet égard, dans les colonnes de L’Humanité, un rôle salué par la presse internationale), puis de la dénonciation des complicités et incohérences françaises. Les députés communistes tentèrent en vain de secouer la torpeur de l’Assemblée. Faisant fi des calculs électoralistes, le PCF refusa ensuite de se joindre au choeur indécent des cocoricos pro-Turquoise.
Dès le mois de mai 1994, Francis Wurtz écrivait à Alain Juppé pour lui demander, au nom du Parti, de :
" Faire respecter un strict embargo sur les armes et les munitions destinées au Rwanda, [...] contribuer matériellement et financièrement avec d’autres pays, dans le cadre de l’ONU, à la mise en place d’une force interafricaine de protection des populations sous l’égide de l’OUA et des Nations unies, [...] refuser de reconnaître le pouvoir actuel au Rwanda, qui s’est autoproclamé "gouvernement intérimaire" à l’issue d’un putsch militaire, et agir, au contraire, pur que les accords d’Arusha [...] soient mis en oeuvre, de mettre à disposition du nouveau gouvernement issu de ces accords les moyens nécessaires au relèvement et à la reconstruction du Rwanda dévasté ".
Tandis que la majorité bien-pensante de la classe politique et des médias tentait de justifier l’impuissance devant la perpétration du génocide par une lecture ethniste (la rivalité Hutus-Tutsis transformée en " combat de nègres dans un tunnel ", auquel le pays de Descartes ne pourrait rien comprendre), Francis Wurtz protestait :
" La France a contribué à armer et à entraîner ce régime. [...] C’est la coopération militaire française qui sauva alors ce pouvoir et lui permit, depuis lors, de multiplier par sept le nombre de ses soldats. C’est trop facile, et c’est indigne [...] de dépeindre la tragédie rwandaise comme un simple conflit ethnique (147)".
131. Déclaration à Non-Violence Actualité, avril 1995.
132. Intervention lors d’une soirée-débat organisée par le PCF le 21/04/94.
133. Extraits du programme adopté par le 28° Congrès du PCF (janvier 1994).
134. Intervention de Francis Wurtz lors d’une soirée-débat organisée par le PCF le 21/04/94.
135. Déclaration à Non-Violence Actualité, avril 1995.
136. Déclaration à La Croix du 23/02/95.
137. Discours au Meeting de solidarité avec le peuple rwandais (Mutualité, 27/06/94).
138. Discours de Francis Wurtz, ibidem.
139. Déclaration à La Croix du 23/02/95.
140. Extraits du programme adopté par le 28° Congrès du PCF (janvier 1994).
141. Intervention lors d’une soirée-débat organisée par le PCF le 21/04/94.
142. Lors de la préparation de la proposition de loi Victoria, déposée au nom du groupe socialiste à la fin de l’été 1992, il a fallu plusieurs navettes avec l’exécutif pour que le député initiateur obtienne d’amender en ce sens la définition des objectifs de l’aide publique française, en ajoutant à " l’intégrité et la sécurité des États " le " bien-être des populations ". Cet ajout avait une fâcheuse tendance à dis-
paraître des versions successives du texte. Un lapsus révélateur : la " culture de gouvernement " en matière de politique africaine consiste à s’accorder avec les chefs d’État, et l’on a chaque fois l’impression de venir d’une autre planète quand on évoque le sort des populations auprès du petit cercle des responsables héritiers de cette " culture ".
143. Il n’en fallut pas tant à nos brillants géopoliticiens pour qualifier de " Khmer noir " le chef du Front patriotique rwandais, l’élève de West Point Paul Kagame.
144. Eléments de réflexion adressés par Robert Hue à Agir ici, à l’occasion de la campagne " Ne perdons pas le Sud ".
145. Ses fondateurs britanniques, hérauts des " libertés bourgeoises ", ne seraient-ils pas des taupes de l’ex-KGB ? La traîtrise anglo-saxonne, it is not ?
146. Extraits du programme adopté par le 28° Congrès du PCF (janvier 1994).
147. Meeting de solidarité avec le peuple rwandais (Mutualité, 27/06/94).
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