À la suite de ces affaires, le Comité P (Inspection générale de la police) a montré l’existence d’un complot visant à déstabiliser l’État en instrumentalisant les rivalités entre la police et la gendarmerie. De son côté, Luc Michel, un ex-militant néonazi qui combat aujourd’hui cette mouvance en Belgique, a montré le lien entre les protagonistes de cette affaire et l’Europaïsche Bewegung, une organisation nazie, créée par les services de l’OTAN en 1986, autour de Michaèl Kühnen, Jürgen Mosler et Michel Caignet, dans le cadre de la " stratégie de la tension ".
Signalons que des membres de la branche française de cette organisation montèrent une opération impliquant Hubert Védrine (alors secrétaire général de l’Élysée) et qui donna lieu, en 1990, à " l’affaire Doucé " (cf. RV 97/0339).
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