L’actualité est dominée par les déclarations du secrétaire général des Nations-Unies pour que le Conseil de sécurité autorise une intervention militaire en Syrie, et celles de l’émir de Qatar en faveur d’une intervention militaire arabe.
À l’exception de la presse chinoise, personne n’accorde d’importance à l’amnistie décrétée par le président el-Assad et à la libération de centaines de détenus qui avaient été arrêtés au début des événements.
Le message du jour des services de communication US, c’est d’une part la défection du général Muhammad Abdul-Hamid al-Awwad et du député de Homs Imad Ghalioun, et d’autre part l’installation d’une unité de liaison entre le Conseil national syrien et l’Armée syrienne libre. Le pouvoir d’el-Assad se désorganise tandis que l’opposition s’organise.
En réalité, ces défections sont sans importances. Le député Ghalioun est un cousin du président homonyme du Conseil national syrien. Quand aux relations entre le Conseil et l’ASL, elles sont toujours aussi exécrables.
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