George W. Bush a démontré durant sa présidence qu’il avait des qualités de visionnaire. Il a ainsi engagé un coûteux programme visant à envoyer l’homme sur la Lune et sur Mars et, surtout, il a démontré sa détermination à libérer l’Irak de la dictature.
Ainsi, il a compris que la destitution de Saddam Hussein ne se ferait pas qu’au profit des Irakiens et de leurs voisins, mais entraînerait des changements d’attitudes de la part des autres pays soutenant le terrorisme et développant des armes de destruction massive. Cela a eu un impact positif sur la Libye, l’Iran, la Syrie, la Cisjordanie, l’Afghanistan et la Corée du Nord. Ceux qui affirment que la décision de Kadhafi est plus due aux négociations qu’à l’usage de la force en Irak sont ridicules.
Le caractère visionnaire de George W. Bush se comprend également en opposition à l’aveuglement de ses détracteurs. On a pu voir la semaine dernière notamment que la Carnegie Endowment for International Peace avait rédigé un rapport décrivant la guerre en Irak comme une erreur dont les coûts dépassaient largement les avantages. Ce n’est pas étonnant de leur part car ils considèrent qu’une action militaire est illégitime sans l’aval de l’ONU alors même qu’il était évident que les inspections ne donnaient rien. Cette analyse est pourtant aujourd’hui reprise par les candidats Démocrates.
La guerre au terrorisme ne peut se gagner que quand les régimes qui nous ont menti (le Soudan, la Libye, l’Iran l’Autorité palestinienne, la Syrie, l’Iran, la Corée du Nord) seront remplacés. Tant que le président ne perd pas cela de vue, nous reconnaîtrons sa vision.
« On the vision thing », par Franck J. Gaffney Jr., Washington Times, 13 janvier 2004.
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