Le premier élément positif en Irak, c’est avant toute chose la chute de Saddam Hussein. Quels que soient les problèmes que rencontrent l’Irak, ils font pâle figure face à la dictature de Saddam Hussein.
Comme l’a démontré le groupe de surveillance de l’Irak, le régime des sanctions échouait et l’ancien président irakien aurait reconstruit son arsenal dès la fin des sanctions. Depuis 1998, la politique états-unienne en Irak avait pour but la chute de Saddam Hussein. Ne pas atteindre cet objectif aurait diminué notre crédibilité dans la région et aurait encouragé la Libye à poursuivre son programme d’armement et le Dr Khan à continuer son réseau de prolifération.
Aujourd’hui, les Irakiens font le choix de la démocratie et les sondages montrent qu’ils croient en ce système.

Gary Schmitt
Source
Los Angeles Times (États-Unis)

« What’s Going Right in Iraq », par Gary Schmitt, Los Angeles Times, 24 octobre 2004. Ce texte est issu d’une série de tribunes d’auteurs favorables à la guerre contre l’Irak concernant, selon eux, les éléments positifs du conflit.