La Chine, Cuba, la Russie, le Soudan, le Pakistan, la Côte d’Ivoire et le Zimbabwe ; c’est l’alliance des pires dictatures communistes du monde et des pires régimes fascistes islamistes qui, sous la direction du Vietnam et avec la grave contribution de l’Inde veulent exclure le Parti radical transnational de l’ONU.
Vendredi 21 mai, la Commission des ONG de l’ONU a voté une « recommandation » demandant pour trois ans l’exclusion du Parti radical transnational à la demande du régime d’Hanoï pour avoir permis à M. Kok Ksor de parler devant la Commission des Droits de l’homme de l’ONU suite à une nouvelle vague de répression contre les Montagnards au Vietnam. Aujourd’hui, M. Ksor est citoyen états-unien et continue de se battre contre le génocide rampant qui se poursuit au Vietnam grâce à l’indifférence des autres actions et de l’ONU.
En réalité, il ne s’agit que d’un nouveau chapitre d’une longue histoire. À l’ONU, trois tendances existent :
– Les pressions systématiques contre les ONG défendant les libertés et les Droits de l’homme.
– Les ennemis de la liberté montrent qu’ils savent parfaitement travailler ensemble.
– Il est difficile d’organiser des coalitions travaillant « pour le bien » et d’organiser le groupe des démocraties.
L’organisation des démocraties est pourtant le seul moyen de réformer l’ONU pour qu’elle cesse d’être un moyen de légitimer les autocrates et les dictateurs. Cela passe par un changement de comportement de l’Inde qui se voit comme un contrepoids aux États-Unis, ce qui est contraire à ce dont a besoin le monde et l’ONU.
« Face-off at the U.N. », par Daniele Capezzone et Matteo Mecacci, Washington Times, 28 mai 2004.
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